La relation entre Vacheron Constantin et la France n’est pas nouvelle. Vacheron Constantin, aujourd’hui mécène de l’Opera de Paris, a commencé son aventure française en 1810 l’associé de Jacques-Barthélemy Vacheron, Barthélémy Girod, décide d’ouvrir une boutique parisienne pour vendre des montres de la marque.
C’est en 1855 que la reconnaissance devient unanime, plus exactement à l’occasion de l’exposition Universelle de Paris de la même année. S’en suivront des commandes spéciales de la part de passionnés de haute horlogerie (montre à cadran géographique, montre boule, montre heure sidérale) et techniques (montre Hora Christi, ancêtre du 2ème fuseau horaire, montre à seconde morte, ancêtre du chronographe). En 1972, la manufacture genevoise reçoit le « Diplôme du Prestige de la France » pour sa montre asymétrique.
La boutique Vacheron Constantin de la rue de la Paix n’est donc que la suite logique de l’aventure de cette grande manufacture produisant décennies après décennies des pièces toujours plus innovantes, mélangeant maîtrise du temps et esthétique.
C’est en 1855 que la reconnaissance devient unanime, plus exactement à l’occasion de l’exposition Universelle de Paris de la même année. S’en suivront des commandes spéciales de la part de passionnés de haute horlogerie (montre à cadran géographique, montre boule, montre heure sidérale) et techniques (montre Hora Christi, ancêtre du 2ème fuseau horaire, montre à seconde morte, ancêtre du chronographe). En 1972, la manufacture genevoise reçoit le « Diplôme du Prestige de la France » pour sa montre asymétrique.
La boutique Vacheron Constantin de la rue de la Paix n’est donc que la suite logique de l’aventure de cette grande manufacture produisant décennies après décennies des pièces toujours plus innovantes, mélangeant maîtrise du temps et esthétique.