La montre Jaeger Lecoultre Master Tourbillon Aventurine
Scintillant cortège, la nacre naturelle, l’aventurine, les diamants, l’émail et les plumes escortent avec grâce et sophistication les tourbillons, quantièmes perpétuels, répétitions minutes et autres indications jour/nuit. La nouvelle collection Master Lady propose une lecture raffinée du temps décliné au féminin. Les pièces émaillées conjuguent au présent un art séculaire dont les lettres de noblesses s’inscrivent à la main, dans une minutie poussée à l’extrême. Les montres pour hommes offrent aux complications horlogères de la Manufacture une nouvelle exécution à l’image du temps : infiniment précieuse. Chaque nouveauté à sa façon rend hommage à ces métiers manufacturiers qui ont traversé les âges et continuent à enrichir le patrimoine de Jaeger-LeCoultre avec créativité.
Le modèle Jaeger Lecoultre Master Tourbillon Squelette
Master Lady Collection : l’éternel féminin
La silhouette est douce, les rondeurs sensuelles, l’élégance innée. Au jeu de la séduction, la nouvelle collection Master Lady met en avant ses plus beaux atours. Intemporelle, sa formedompte les heures dans une ronde éternelle. Vêtue d’acier, d’or rose ou d’or gris, son boîtier adapte sa taille aux poignets les plus délicats. Une ligne de diamants taille brillant souligne son profil jusqu’aux cornes. Celles-ci jouent de finesse dans une nouvelle esthétique qui accentue encore la féminité de la pièce. Telle une offrande au temps, un diamant inversé vient ponctuer la couronne. La lunette sertie illumine un visage raffiné survolé par de généreuses aiguilles biseautées. Tandis que le tour d’heure arbore des
chiffres contemporains tout en rondeur, le cadran se pare, selon les modèles, d’un guilloché central circulaire, d’une marqueterie de nacre, de diamants ou de plumes. Derrière la grâce et la pureté qui émanent de la collection disponible sur bracelet de satin ou d’or serti, se cache un coeur mécanique à remontage automatique réalisé dans la plus pure tradition de Haute Horlogerie.
La Master Lady Night & Day dédie ses 29mm de diamètre à une indication jour/nuit, instrumentée à 6h par le Calibre Jaeger-LeCoultre 967A. Son visage irisé par la nacre est illuminée par des diamants, un raffinement qui met en valeur les fonctions horlogères.
Dotées du célèbre Calibre Jaeger-LeCoultre 978, les pièces Master Lady Tourbillon, Master Lady Tourbillon Wild et Master Lady Tourbillon Enamel prouvent que la technique sait aussi se faire femme. L’une offre une bague de diamants à son tourbillon pour mieux sceller l’union de la beauté et de la mécanique. L’autre auréole la complication horlogère d’un incroyable éventail de diamants, de nacre, d’aventurine et de plumes véritables qui se déploient sur le cadran dans un esprit Art Déco. La troisième invite la cage de tourbillon dans un monde végétal émaillé dans les règles de l’art où la nature se révèle vivace et radieuse.
La silhouette est douce, les rondeurs sensuelles, l’élégance innée. Au jeu de la séduction, la nouvelle collection Master Lady met en avant ses plus beaux atours. Intemporelle, sa formedompte les heures dans une ronde éternelle. Vêtue d’acier, d’or rose ou d’or gris, son boîtier adapte sa taille aux poignets les plus délicats. Une ligne de diamants taille brillant souligne son profil jusqu’aux cornes. Celles-ci jouent de finesse dans une nouvelle esthétique qui accentue encore la féminité de la pièce. Telle une offrande au temps, un diamant inversé vient ponctuer la couronne. La lunette sertie illumine un visage raffiné survolé par de généreuses aiguilles biseautées. Tandis que le tour d’heure arbore des
chiffres contemporains tout en rondeur, le cadran se pare, selon les modèles, d’un guilloché central circulaire, d’une marqueterie de nacre, de diamants ou de plumes. Derrière la grâce et la pureté qui émanent de la collection disponible sur bracelet de satin ou d’or serti, se cache un coeur mécanique à remontage automatique réalisé dans la plus pure tradition de Haute Horlogerie.
La Master Lady Night & Day dédie ses 29mm de diamètre à une indication jour/nuit, instrumentée à 6h par le Calibre Jaeger-LeCoultre 967A. Son visage irisé par la nacre est illuminée par des diamants, un raffinement qui met en valeur les fonctions horlogères.
Dotées du célèbre Calibre Jaeger-LeCoultre 978, les pièces Master Lady Tourbillon, Master Lady Tourbillon Wild et Master Lady Tourbillon Enamel prouvent que la technique sait aussi se faire femme. L’une offre une bague de diamants à son tourbillon pour mieux sceller l’union de la beauté et de la mécanique. L’autre auréole la complication horlogère d’un incroyable éventail de diamants, de nacre, d’aventurine et de plumes véritables qui se déploient sur le cadran dans un esprit Art Déco. La troisième invite la cage de tourbillon dans un monde végétal émaillé dans les règles de l’art où la nature se révèle vivace et radieuse.
La montre Jaeger Lecoultre Master Grand Tourbillon Email Serti
Les montres émaillées : un art séculaire au service de la Haute Horlogerie
Destinés à se rencontrer dans les ateliers de la Manufacture, la Haute Horlogerie et l’art de l’émail miniature partagent le même amour du détail, la même rigueur, la même virtuosité d’exécution qui ne s’acquiert qu’au prix d’un patient labeur. Tous deux guidés par la main, l’oeil et le coeur, horloger et émailleur font de la minutie leur meilleur complice pour créer des chefs d’oeuvre de miniaturisation. De toutes les techniques connues à ce jour, la peinture miniature sur émail constitue probablement la forme la plus aboutie de cet art millénaire. Les nouveautés 2011 lui rendent un hommage vibrant. Elles mettent également en lumière un procédé d’émaillage datant de la Renaissance, l’émail translucide, qui se marie au guillochage pour parvenir à un relief saisissant. Ces techniques figurent parmi les plus précieuses de tous les arts picturaux. Disciplines qui ne sont guère plus enseignées aujourd’hui, elles ne sont maîtrisées que par de rares artisans qui perpétuent leur savoirfaire de génération en génération.
Dans le paysage mordoré de la Master Minute Repeater retentit le son cristallin des gongs sonnant les heures, les quarts et les minutes. Mariant l’art pictural d’un cadran en émail miniature à l’art symphonique d’une des plus grandes complications horlogères, le gardetemps est un concentré de savoir-faire. La peinture miniature sur émail trouve faveur auprès des collectionneurs en raison de sa grande valeur artistique et historique. La confection du cadran émaillé de la Master Minute Repeater représente une centaine d’heures de concentration et un grand nombre d’opérations aussi délicates et essentielles les unes que les autres. L’émailleur doit également faire preuve d’une précision absolue pour garantir le parfait fonctionnement du mécanisme horloger et ne pas dépasser des tolérances infimes de l’ordre de 2/10ème de millimètre. Avant le début de la peinture proprement dite, il prépare l’émail blanc ou translucide et recouvre le revers de la plaque de cadran d’une couche dite « contre-émail », destinée à prévenir toute déformation du métal pendant la cuisson. Puis il entreprend le travail de décoration par l’application de couches de couleur à l’aide d’un pinceau extrêmement fin qui seront passées au four successivement. Un témoignage du talent des artisans émailleurs qui ne saurait être complet sans une démonstration de la maestria horlogère incarnée par le Calibre Jaeger-LeCoultre 947. N’oubliant pas d’allier le fond et la forme, la Master Minute Repeater laisse apparaître à 4h les timbres de sa répétition minutes.
Dans sa version sertie, la Master Grand Tourbillon Enamel se plaît à jouer avec les ombres et la lumière pour mettre en valeur sa grande complication. Gravé à la main sur ses flancs, le boîtier d’or gris constitue un écrin sur mesure pour accueillir l’un des fleurons horlogers de la Manufacture et l’une des techniques ornementales les plus exceptionnelles. Dans le halo d’une lunette sertie de diamants baguette, deux grues cendrées se posent délicatement sur le cadran bleu nuit préalablement gravé. Réalisée selon la technique de l’émail translucide guilloché, cette pièce ajoute à la finesse de son décor miniature un effet de profondeur incroyable. Avant de poser les couches successives d’émail transparent, l’artisan réalise un minutieux guillochage à la main sur la plaque métallique de base. Puis il pose une couche d’émail blanc, la grisaille, sur la partie destinée à être décorée. Après cuisson, l’émailleur travaille avec du « blanc de Limoges » à l’aiguille ou au pinceau, en diverses couches et densités, afin de donner à la matière des effets de gris et de blancs, auxquels il peut ensuite mêler des oxydes de couleur. Tel un trompe-l’oeil, l’émail translucide gravé met en valeur le moindre détail du décor avec une précision infinie : dans un relief accentué par la lumière qui se reflète sur les contours des dessins, le plumage des oiseaux, le mouvement de leur cou, le raffinement du guilloché sont autant d’éléments miniatures qui donnent litéralement vie à la montre. Une vie qui bat au rythme des oscillations du mouvement à remontage automatique Calibre Jaeger-LeCoultre 978.
Destinés à se rencontrer dans les ateliers de la Manufacture, la Haute Horlogerie et l’art de l’émail miniature partagent le même amour du détail, la même rigueur, la même virtuosité d’exécution qui ne s’acquiert qu’au prix d’un patient labeur. Tous deux guidés par la main, l’oeil et le coeur, horloger et émailleur font de la minutie leur meilleur complice pour créer des chefs d’oeuvre de miniaturisation. De toutes les techniques connues à ce jour, la peinture miniature sur émail constitue probablement la forme la plus aboutie de cet art millénaire. Les nouveautés 2011 lui rendent un hommage vibrant. Elles mettent également en lumière un procédé d’émaillage datant de la Renaissance, l’émail translucide, qui se marie au guillochage pour parvenir à un relief saisissant. Ces techniques figurent parmi les plus précieuses de tous les arts picturaux. Disciplines qui ne sont guère plus enseignées aujourd’hui, elles ne sont maîtrisées que par de rares artisans qui perpétuent leur savoirfaire de génération en génération.
Dans le paysage mordoré de la Master Minute Repeater retentit le son cristallin des gongs sonnant les heures, les quarts et les minutes. Mariant l’art pictural d’un cadran en émail miniature à l’art symphonique d’une des plus grandes complications horlogères, le gardetemps est un concentré de savoir-faire. La peinture miniature sur émail trouve faveur auprès des collectionneurs en raison de sa grande valeur artistique et historique. La confection du cadran émaillé de la Master Minute Repeater représente une centaine d’heures de concentration et un grand nombre d’opérations aussi délicates et essentielles les unes que les autres. L’émailleur doit également faire preuve d’une précision absolue pour garantir le parfait fonctionnement du mécanisme horloger et ne pas dépasser des tolérances infimes de l’ordre de 2/10ème de millimètre. Avant le début de la peinture proprement dite, il prépare l’émail blanc ou translucide et recouvre le revers de la plaque de cadran d’une couche dite « contre-émail », destinée à prévenir toute déformation du métal pendant la cuisson. Puis il entreprend le travail de décoration par l’application de couches de couleur à l’aide d’un pinceau extrêmement fin qui seront passées au four successivement. Un témoignage du talent des artisans émailleurs qui ne saurait être complet sans une démonstration de la maestria horlogère incarnée par le Calibre Jaeger-LeCoultre 947. N’oubliant pas d’allier le fond et la forme, la Master Minute Repeater laisse apparaître à 4h les timbres de sa répétition minutes.
Dans sa version sertie, la Master Grand Tourbillon Enamel se plaît à jouer avec les ombres et la lumière pour mettre en valeur sa grande complication. Gravé à la main sur ses flancs, le boîtier d’or gris constitue un écrin sur mesure pour accueillir l’un des fleurons horlogers de la Manufacture et l’une des techniques ornementales les plus exceptionnelles. Dans le halo d’une lunette sertie de diamants baguette, deux grues cendrées se posent délicatement sur le cadran bleu nuit préalablement gravé. Réalisée selon la technique de l’émail translucide guilloché, cette pièce ajoute à la finesse de son décor miniature un effet de profondeur incroyable. Avant de poser les couches successives d’émail transparent, l’artisan réalise un minutieux guillochage à la main sur la plaque métallique de base. Puis il pose une couche d’émail blanc, la grisaille, sur la partie destinée à être décorée. Après cuisson, l’émailleur travaille avec du « blanc de Limoges » à l’aiguille ou au pinceau, en diverses couches et densités, afin de donner à la matière des effets de gris et de blancs, auxquels il peut ensuite mêler des oxydes de couleur. Tel un trompe-l’oeil, l’émail translucide gravé met en valeur le moindre détail du décor avec une précision infinie : dans un relief accentué par la lumière qui se reflète sur les contours des dessins, le plumage des oiseaux, le mouvement de leur cou, le raffinement du guilloché sont autant d’éléments miniatures qui donnent litéralement vie à la montre. Une vie qui bat au rythme des oscillations du mouvement à remontage automatique Calibre Jaeger-LeCoultre 978.
La montre Jaeger Lecoultre Master Tourbillon Wild 2
Les célestes flambeaux de l’art horloger de Jaeger-LeCoultre : une mise en lumière majestueuse.
Trois modèles emblématiques du savoir-faire de Jaeger-Lecoultre succombent aux charmes des pierres précieuses. Réunissant le talent de ses joaillers et de ses horlogers, la collection céleste offre aux grandes complications de la Manufacture une nouvelle exécution infiniment précieuse.
Dotée d’un boîtier de platine majestueusement couronné de diamants baguette, la Master Gyrotourbillon 1 s’octroie l’éclat d’un cadran serti selon la technique du rock setting, dont les diamants baguette soigneusement disposés dessinent la voûte de la Chapelle Sixtine. En contre-bas, la voûte celeste est majestueusement représentée par un ciel étoilé en aventurine, intense écrin constellé de paillettes d’or qui accueille en son sein la magie gravitationnelle du gyrotourbillon. Né de l'imagination des sertisseurs de la Manufacture, le rock setting révèle le feu des diamants baguette en faisant disparaître totalement la matière qui les maintient. Le mystère est total, le secret jalousement gardé par les artisans de
Jaeger-LeCoultre. Une mise en scène à la hauteur de la complexité du mouvement à remontage manuel, le Calibre Jaeger-LeCoultre 177.
Intégrant trois complications qui allient avec une élégance les plus fières traditions à une technologie d’avant-garde - une répétition minutes, un tourbillon volant céleste et un calendrier zodiacal sidéral, la Master Grande Tradition Grande Complication laisse les pierres précieuses dessiner les contours de sa mécanique. De somptueux diamants baguette investissent l’espace du boîtier façonné en or gris tandis qu’un camaïeu de saphirs bleus forme sur le cadran la carte céleste de l’hémisphère septentrional. Une bague tournante ornée elle aussi de diamants et saphirs ajoute sa magnificence à l’ensemble. Il ne fallait pas moins que le Calibre Jaeger-LeCoultre 945, dont les 527 pièces sont toutes assemblées et ajustées par les mains d’un seul horloger, pour en parfaire la précision de marche.
Equipée du Calibre Jaeger-LeCoultre 978, un tourbillon automatique doté d'une cage en titane et d'un balancier à grande inertie, la Master Grand Tourbillon décline sa sophistication en deux versions : l’une en or rose serti de diamants brillant, l’autre en or gris pavé de diamants baguette. Toutes deux choisissent l’intensité de l’aventurine pour mettre en spectacle la prouesse horlogère. Travaillée en marqueterie, la pierre semi-précieuse irise le cadran d’une géométrie rigoureuse parsemée de minuscules inclusions d’or qui miroitent à la lumière. En coulisses, le Calibre Jaeger-LeCoultre 978, tourbillon automatique, frémit avec la régularité requise, suivant les va-et-vient d’une masse oscillante taillée dans l’or.
Trois modèles emblématiques du savoir-faire de Jaeger-Lecoultre succombent aux charmes des pierres précieuses. Réunissant le talent de ses joaillers et de ses horlogers, la collection céleste offre aux grandes complications de la Manufacture une nouvelle exécution infiniment précieuse.
Dotée d’un boîtier de platine majestueusement couronné de diamants baguette, la Master Gyrotourbillon 1 s’octroie l’éclat d’un cadran serti selon la technique du rock setting, dont les diamants baguette soigneusement disposés dessinent la voûte de la Chapelle Sixtine. En contre-bas, la voûte celeste est majestueusement représentée par un ciel étoilé en aventurine, intense écrin constellé de paillettes d’or qui accueille en son sein la magie gravitationnelle du gyrotourbillon. Né de l'imagination des sertisseurs de la Manufacture, le rock setting révèle le feu des diamants baguette en faisant disparaître totalement la matière qui les maintient. Le mystère est total, le secret jalousement gardé par les artisans de
Jaeger-LeCoultre. Une mise en scène à la hauteur de la complexité du mouvement à remontage manuel, le Calibre Jaeger-LeCoultre 177.
Intégrant trois complications qui allient avec une élégance les plus fières traditions à une technologie d’avant-garde - une répétition minutes, un tourbillon volant céleste et un calendrier zodiacal sidéral, la Master Grande Tradition Grande Complication laisse les pierres précieuses dessiner les contours de sa mécanique. De somptueux diamants baguette investissent l’espace du boîtier façonné en or gris tandis qu’un camaïeu de saphirs bleus forme sur le cadran la carte céleste de l’hémisphère septentrional. Une bague tournante ornée elle aussi de diamants et saphirs ajoute sa magnificence à l’ensemble. Il ne fallait pas moins que le Calibre Jaeger-LeCoultre 945, dont les 527 pièces sont toutes assemblées et ajustées par les mains d’un seul horloger, pour en parfaire la précision de marche.
Equipée du Calibre Jaeger-LeCoultre 978, un tourbillon automatique doté d'une cage en titane et d'un balancier à grande inertie, la Master Grand Tourbillon décline sa sophistication en deux versions : l’une en or rose serti de diamants brillant, l’autre en or gris pavé de diamants baguette. Toutes deux choisissent l’intensité de l’aventurine pour mettre en spectacle la prouesse horlogère. Travaillée en marqueterie, la pierre semi-précieuse irise le cadran d’une géométrie rigoureuse parsemée de minuscules inclusions d’or qui miroitent à la lumière. En coulisses, le Calibre Jaeger-LeCoultre 978, tourbillon automatique, frémit avec la régularité requise, suivant les va-et-vient d’une masse oscillante taillée dans l’or.